Bienvenue dans un monde d'écriture

Daredevil

daredevil-concept-art-posterGenre
Action

Statut
En production

Saisons
1

Épisodes et format
13 x 52 minutes environ

Année de production
2015

D’après le personnage de Daredevil, créé par Stan Lee et Bill Everett

Casting
Charlie Cox, Vincent D’Onofrio, Deborah Ann Woll, Elden Henson, Toby Leonard Moore, Vondie Curtis-Hall…

Synopsis
Matt Murdock, aveugle, avocat, a juré de défendre Hell’s Kitchen de toutes les menaces qui pèsent sur le quartier, par tous les moyens possibles. Ce qui inclut quelques excursions nocturnes sous un masque. Avocat le jour, Matt devient un justicier solitaire la nuit, aidé par un entraînement exigeant et des capacités spéciales. Mais quand un adversaire plus fort et plus intelligent que les autres fait surface, Matt se retrouve pris dans une spirale de violence comme Hell’s Kitchen a rarement vu…

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Avis
Voilà une série qui était attendu. Après que Marvel et Disney aient récupéré les droits de Daredevil chez la Fox, on attendait avec impatience de voir ce qu’ils allaient en faire, en espérant qu’on oublierait le film de 2003 avec Ben Affleck. Et le résultat de cette série, collaboration ABC/Netflix, est juste 1000 fois meilleur.
Bon, et comme je vous vois venir, vous allez me demander une comparaison avec le film, ou un avis rapide sur le sujet, alors, on va faire ça tout de suite.

Le film, pour moi, n’est pas la daube infâme souvent décrite, et est bien plus regardable que X-Men 3 ou The Punisher : War Zone. Oui, je sais, là, vous allez me lapider, je suis préparé. Bref. Il souffre bien de quelques scènes ridicules (ah, ce combat en plein jour et en public entre Matt et Elektra…. :’)), d’une direction d’acteurs hasardeuse (Ben Affleck était loin d’être convaincant tout le temps. Mais ça arrivait parfois quand même. Par contre,je refuse de parler de Colin Farrell !), et d’une histoire totalement random sur laquelle on a collé l’univers de Daredevil, en espérant que ça marche. Il est toutefois sauvé par un certain sens de l’esthétique de Mark Steven Johnson (sens qu’on retrouve sur Ghost Rider, qui souffre des mêmes problèmes) et, surtout, par Michael Clarke Duncan en Wilson Fisk ! Duncan dans le rôle de Fisk, c’était tout ce qu’on attendait du personnage : charisme, prestance, carrure, tout était là. Et rien que pour ça, ça vaut le visionnage.

Maintenant, on revient à la série. Et là, c’est la baffe ! L’univers est noir et violent, on est droit dans l’ambiance des travaux de Frank Miller et Brian Michael Bendis dès le premier épisode (impression renforcée par le costume qui sort droit du run des origines de Frank Miller). Ambiance qui se détend toutefois un peu dès que Matt retire son masque et que Foggy balance quelques vannes. Dans les 2 premiers épisodes, cette ambiance est en tout cas bien renforcée par le fait que Fisk n’apparaisse pas. Pas une fois. Il est juste une ombre, un employeur invisible dont on tait le nom, une menace intangible qui tient la ville dans ses mains. Et c’est là que la série a un léger bémol selon moi, mais c’est surtout de la communication…
Si on savait très bien qu’on allait voir Wilson Fisk (à moins de vraiment pas lire les comics, de ne pas s’intéresser au sujet, et de ne pas avoir vu le film), je pense que l’impact aurait été plus énorme pour son apparition si le secret avait été gardé sur le personnage comme sur l’acteur, puisqu’il n’apparaît pas tout de suite. Balancer l’acteur et des photos officielles, ça réduisait, à mes yeux, l’impact de son arrivée. Mais c’est du point de détail, d’autant que Vincent D’Onofrio est impérial dans le rôle. Le traitement est bien différent de celui du film, puisqu’on y développe les aspects humains du Caïd et sa genèse, mais on n’oublie pas de lui garder quelques scènes d’action où il dévoile toute sa puissance et sa rage. À ce titre, le final de l’épisode 4 est particulièrement incroyable, la scène la plus violente et la plus dégueulasse, disons-le carrément, de tout l’univers Marvel, et qui ne fait qu’illustrer encore plus le décalage et le contraste entre la série et le reste du MCU. Car, oui, c’est lié aux films, mais de façon très discrète, par quelques vagues références dans les dialogues ou les cadrages. On se centre vraiment sur DD et son environnement urbain.

Et c’est là la force de la série, qui gagne son identité propre et prend le temps de développer ses personnages, de bien nous faire comprendre qu’on est là, en 13 épisodes, dans le parfait équivalent d’un comics entièrement dédié aux origines du personnage, qui se cherche et qui doute. La série ne fait que gagner en puissance à chaque épisode, avec des pics à certains moments (le plan séquence du couloir de l’épisode 2, la fin du 4, une mort brutale du 12…) et, avant de s’en rendre compte, on arrive à l’épisode 13. Lequel a divisé et laissé pas mal de réactions mitigées voire plus que déçues.
Alors, non, cet épisode final n’est pas un foutage de gueule et est juste absolument épique d’un bout à l’autre. Si Steven S. DeKnight s’est fait plaisir à le gérer contrairement aux précédents, il n’a pas à rougir par rapport au travail fourni par ses équipes sur le reste (et pour ceux qui n’ont pas aimé, sachez qu’il se barre, tout comme les showrunners, pour la saison 2 qui a été annoncée il y a peu, bien plus tôt que ce qu’on pouvait imaginer). Le vrai problème, c’est la première partie, qui est expédiée limite d’un coup de baguette magique, avec des faits certes logiques, mais évacués tellement rapidement et facilement que, à part pour deux séquences vraiment pas mal, ça ne donne rien de notable et détruit même pas mal des enjeux des épisodes précédents concernant cette partie.
Il aurait peut-être mieux valu que la saison se tienne sur 14 épisodes, avec le 13 qui reprend de façon approfondie les premières minutes de l’épisode 13 réel, et le 14 qui traite de tout le reste pour livrer une confrontation finale encore plus épique. Ceci mis à part, il n’y a pour ainsi dire aucune fausse note dans la série, qu’on pourrait croire écrite par Miller et/ou Bendis sans le moindre problème.

Bref, l’ambiance est parfaite, les acteurs sont parfaits (au fait, regardez en VO, la VF de Charlie Cox est la même que celle de Robert Downey Jr dans Iron Man. Entendre Murdock avec la voix de Tony Stark, ça doit être perturbant XD), le moindre petit élément a tout à fait sa place, cette série est tout simplement l’une des meilleures adaptations Marvel de tous les temps.
Je la recommande donc plus que chaudement, à moins que vous n’aimiez vraiment pas le Daredevil sombre, violent, et torturé qu’on connaît depuis 1981. Si c’est le cas, je doute que vous accrochiez à la série, tant elle est dans cette lignée, comme je l’ai dit plus haut. Sinon, foncez !

26 avril, 2015 à 18:34 | Commentaires (1) | Permalien


Jonathan Nolan pour adapter Fondation à la télévision

9782070360536Ceci est sans doute la plus grosse nouvelle du jour. Si l’on sait que Roland Emmerich doit adapter la saga Fondation, de Isaac Asimov, au cinéma, il semblerait qu’un projet parallèle (ou alors, les films ne sont plus d’actu ?) soit en train de voir le jour, et il est nettement plus intéressant : Jonathan Nolan (oui, le frère de Christopher Nolan, qu’on retrouve à la production et au scénario sur plusieurs de ses films) serait sur le point d’adapter la première trilogie de la saga pour le compte de la chaîne HBO !

La série, dont aucune autre info n’est encore disponible, se centrerait donc sur la trilogie constituée par Fondation, Fondation et Empire, et Seconde Fondation. Jonathan Nolan confiait justement récemment son amour de la saga.

« J’adore les Fondations d’Asimov. Elles mériteraient d’être plus connues, mais c’est une oeuvre que je pense tout le monde gagnerait à lire. Son influence est massive. Beaucoup ont tenté de l’imiter, beaucoup en ont été inspirés, mais revenez à l’original et certains de ses concepts vous retournerons.« 

La saga littéraire se situe 22 000 ans dans notre futur, alors que l’Homme a colonisé l’espace. Hari Seldon, mathématicien renommé, prédit, par les mathématiques, la chute de l’Empire, qui serait suivie d’une période d’âge sombre de 30 000 ans. Il met alors en place un grand plan sur un millier d’années, visant à préserver l’espèce et ses connaissances, afin qu’un Second Empire, encore plus grand, soit fondé. Cela passe par la création de deux Fondations, dont l’une ignore tout de ce plan, et est conçue pour croire que tout ira bien, dans le but de la survie…

La saga se déroule donc sur des centaines d’années, en suivant l’histoire de ces Fondations. Ce qui ne fait que rendre le projet encore plus ambitieux et colossal.

11 novembre, 2014 à 17:52 | Commentaires (0) | Permalien


Shadowland adapté en série ?

shadowlandDavid S.Goyer est décidément un homme très occupé. Après être devenu un expert du scénario d’adaptation DC (la trilogie Batman de Nolan, c’est lui. Man of Steel, c’est lui aussi. Constantine ? Pas mieux), le voilà qui s’attaque à faire de Shadowland, de Peter Straub, un scénario pour une série télé pour NBC, tout comme Constantine.

Le projet n’en est donc qu’à ses débuts, et il s’agit d’une écriture conjointe avec Jack Thorne, scénariste britannique. Qui est lui-même actuellement occupé à faire du Sandman de Neil Gaiman un film pour la Warner.

Le mélange fantasy/horreur fonctionnera-t-il autant àla télé qu’avec les mots ? Il va falloir attendre de voir le résultat. En espérant évidemment que la série se développe au-delà de l’écriture.

Et par ici pour le rapide résumé du roman :
En arrivant à Shadowland, le Royaume des Ombres, pour être initié à la magie, Tom et Del pensaient apprendre quelques tours de cartes ou le numéro du lapin ou de la colombe. 
Mais Collins, le Magicien, a d’autres desseins : Tom est doté de pouvoirs exceptionnels et c’est lui qui sera son successeur, le nouveau Roi des Ombres. Tom se sent soudain envahi d’une terreur irraisonnée lorsque ses visions hideuses de bébés embrochés sur des piques ou de garçons crucifiés se révèlent plus que de simples hallucinations. 
Et si Collins n’était pas le brave homme qu’il prétend ? Si, pour être magicien, il fallait exploiter ses fantasmes les plus profonds, apprendre la haine ?

20 octobre, 2014 à 17:58 | Commentaires (0) | Permalien


Six saisons pour American Gods !

Six saisons pour American Gods ! dans Adaptations et projets avec auteurs à venir american_godspbNeil Gaiman revient sur l’adaptation de son roman American Gods par HBO. Et on peut dire que ce qu’il annonce est à la hauteur de la réputation de la chaîne et de ses ambitions.

La série est en effet prévue en 6 saisons de 10 à 12 épisodes chacune, avec un budget annoncé par Tom Hanks Playtone Productions de 40 millions de dollars pour chacune de ces six saisons. Je vous laisse faire le calcul de ce que coûtera l’intégralité de la série. La diffusion est toujours prévue pour 2014.

Gaiman revient également sur son écriture du script et nous annonce que sa première version devait s’éloigner un peu du livre pour intégrer des éléments qui n’y sont que cités. Ce qui n’était pas vraiment l’ambition de HBO, comme il le dit :

J’ai écrit une première version du scénario que j’aimais. Une des raisons pour lesquelles je l’aimais, c’était que je voulais faire tous ces trucs nouveaux qui n’étaient pas dans le livre.Regardez, le livre débute avec Ombre en prison, sur le point de sortir de prison. Donc j’ai débuté mon épisode pilote sur le braquage de banque qui se passe mal, mais il fallait aussi montrer l’ensemble de ce qui se passe durant les trois ans en prison. Et j’avais donc une demi-heure pour expliquer tout cela avant sa sortie de prison. C’était certainement maladroit, mais les notes d’HBO sont plus allées dans le sens « Euh, vous pourriez faire plus comme le livre ? »

Le projet final sera donc clairement une adaptation la plus proche possible du livre, dont voici le synopsis de base.

Les premiers émigrants américains ont importé leurs croyances, créant ainsi des avatars des dieux du vieux continent. Aujourd’hui, les anciens Dieux saxons, figures directement issues du Wallala et passées à la postérité dans les comics, inspirant nombre de supers héros, perdent leur influence au fur et à mesure que prospèrent les nouveaux Dieux de la technologie et du consumérisme tels que les Dieux de la carte de crédit, de la télévision ou de l’automobile… Une guerre se joue entre les anciens et les nouveaux Dieux, ces derniers décidés à éliminer leurs prédécesseurs.
Ombre vient de passer trois ans en prison. Libéré sur parole, il apprend que sa femme et son meilleur ami viennent de mourir dans un accident de voiture et qu’ils étaient amants. Il est contacté par un individu mystérieux, se faisant appeler Voyageur, qui l’entraîne dans une aventure mêlant mythologies et réalité…

Ne reste plus qu’à attendre de voir le résultat final en action.

30 juin, 2013 à 10:29 | Commentaires (2) | Permalien


HBO adapte Monster avec Guillermo Del Toro

HBO adapte Monster avec Guillermo Del Toro dans Adaptations et projets avec auteurs à venir monster_01Grosse, énorme nouvelle côté adaptation ! Bon, je présume que vous savez lire, puisque vous êtes ici, et vous savez donc déjà avec le titre.

Donc, oui, le manga de Naoki Urasawa va devenir une série, et c’est un duo de rêve qui se lance dans le projet. HBO à la production, avec Guillermo Del Toro pour aider au scénario et qui devrait réaliser lui-même le pilote, comme le fit Martin Scorcese pour Boardwalk Empire.

Au vu du palmarès de la chaîne et du réalisateur, il ne devrait pas y avoir matière à s’inquiéter, en tout cas, même si on attendra de juger sur le résultat final, évidemment.
En attendant d’avoir de vraies infos sur l’adaptation (casting, tournage, etc…), un petit synopsis de cette série en 18 tomes (et déjà adaptée en anime par MadHouse, en 74 épisodes) ne sera sans doute pas de trop.

L’histoire débute en Allemagne en 1986, à l’Eisler Memorial Hospital deDüsseldorf. Kenzô Tenma, le personnage principal, est un jeune neurochirurgienjaponais à la compétence hors norme. Il est destiné à une brillante carrière et fiancé à Eva Heineman, la fille du directeur de l’hôpital. Pourtant, un jour, il refuse de donner en priorité ses soins au maire de la ville et préfère opérer un garçon blessé d’une balle dans la tête, arrivé à l’hôpital avant le maire. La sœur jumelledu garçon, très choquée, est elle-aussi hospitalisée ; leurs parents adoptifs viennent d’être assassinés sauvagement chez eux. Le garçon s’en sort, mais le maire, confié à un autre chirurgien, décède. Le Dr Tenma est alors rétrogradé par le directeur de l’hôpital, père d’Eva et celle-ci le quitte. Peu de temps après, le garçon et sa sœur disparaissent, suite aux meurtres mystérieux de trois hauts responsables — dont le directeur — de l’établissement.

Neuf ans plus tard, Tenma découvre l’auteur des meurtres : Johan, ce garçon de 10 ans qu’il avait sauvé semble être devenu un monstre semant la terreur autour de lui…

25 avril, 2013 à 18:58 | Commentaires (1) | Permalien


Une Place à Prendre adapté par la BBC

Une Place à Prendre adapté par la BBC dans Adaptations et projets avec auteurs à venir rowlingIl n’aura pas fallu longtemps pour que l’écriture de J.K Rowling retrouve le chemin des studios. Une Place à Prendre, dont le succès en termes de ventes n’est pas à prouver, va en effet être adaptée en série par la BBC, selon le souhait de l’auteure elle-même, qui ne voyait pas d’autre façon d’adapter ce nouveau roman.

Aucune autre info n’est réellement disponible à l’heure actuelle, si ce n’est que la BBC a commandé une première saison, dont le format et le nombre d’épisodes ne sont pas encore définis. On parle bien ici de série et non de mini série, comme le furent Band of Brothers ou Les Piliers de la Terre.

Si les détails techniques et le casting ne sont pas encore à l’ordre du jour, on sait d’ores et déjà que la diffusion est censée débuter en 2014 et que J.K Rowling sera directement associée au projet.

Ne reste qu’à voir ce que donnera cette série qui s’annonce typiquement anglaise, où un petit village va se retrouver déchiré par les secrets d’alcôve en tout genre et une élection…

La quatrième de couverture du livre, donc, pour que vous imaginiez tout ça.

Bienvenue à Pagford, petite bourgade anglaise paisible et charmante : ses maisons cossues, son ancienne abbaye, sa place de marché pittoresque… et son lourd fardeau de secrets. Car derrière cette façade idyllique, Pagford est en proie aux tourmentes les plus violentes, et les conflits font rage sur tous les fronts, à la faveur de la mort soudaine de son plus éminent notable. Entre nantis et pauvres, enfants et parents, maris et femmes, ce sont des années de rancunes, de rancœurs, de haines et de mensonges, jusqu’alors soigneusement dissimulés, qui vont éclater au grand jour et, à l’occasion d’une élection municipale en apparence anodine, faire basculer Pagford dans la tragédie. Attendue de tous, J.K. Rowling revient là où on ne l’attendait pas et signe, avec ce premier roman destiné à un public adulte, une fresque féroce et audacieuse, teintée d’humour noir et mettant en scène les grandes questions de notre temps.

3 décembre, 2012 à 20:02 | Commentaires (0) | Permalien


Rhianna Pratchett prendra la relève de son père

Rhianna Pratchett prendra la relève de son père dans Actu rhianna_pratchettRhianna Pratchett, fille de l’auteur Terry Pratchett (Les Annales du Disque-Monde) et déjà connue pour son écriture à travers le scénario de jeu vidéo (Beyond Divinity, Mirror’s Edge, Heavenly Sword, le reboot de Tomb Raider…), va désormais avoir un gros poids sur ses épaules.

Son père Terry a annoncé au New Statesman qu’elle avait sa bénédiction pour reprendre les aventures du Disque-Monde après son décès ou son éventuelle incapacité à écrire à cause de son Alzheimer (ce qui le mettrait incroyablement en colère, selon ses propres termes), tout comme Brandon Sanderson fut choisi pour terminer le cycle de La Roue du Temps de Robert Jordan.

Du côté de la série The Watch, basée sur les aventures du guet d’Ankh-Morpork, pas vraiment de nouvelles, si ce n’est que Rhianna, justement, sera productrice et scénariste de la série.

Bref, entre le jeu vidéo et maintenant la littérature et la télévision, le nom de Rhianna Pratchett devrait être assez vite connu d’un grand nombre. Et, au vu de ses précédents travaux, la qualité d’écriture devrait être au rendez-vous.

16 novembre, 2012 à 21:37 | Commentaires (1) | Permalien


Un Monde sans Fin devient une série télévisée

Un Monde sans Fin devient une série télévisée dans Adaptations et projets avec auteurs à venir un-monde-sans-fin1Le roman Un Monde sans Fin de Ken Follett se présente comme une suite (TRÈS indirecte) aux Piliers de la Terre, se situant dans la même ville un peu plus d’un siècle après les évènements de ce précédent titre.

Les Piliers de la Terre, justement, était devenu une minisérie en huit épisodes de fort belle qualité et abordée par ici.

Aujourd’hui, ce qui était prévisible est confirmé : Un Monde sans Fin passe par la case télévision à son tour. Les avis sont mitigés sur le livre, mais le succès de la précédente série et les possibles différences avec le livre assureront peut-être le succès de celle-ci.

Nous retrouverons, dans cette nouvelle adaptation, Peter Firth, Miranda Richardson, Cynthia Nixon, Indira Varma, entre autres.

La recette reste à peu près la même que pour Les Piliers de la Terre. Respect historique, intrigues politiques et amoureuses, action, religion…

Il ne reste guère qu’à voir ce que donne cette adaptation. Pour des détails, n’hésitez pas à passer sur le site officiel.

11 septembre, 2012 à 9:18 | Commentaires (2) | Permalien


Le casting de Arrow s’étoffe

Le casting de Arrow s'étoffe dans Adaptations et projets avec auteurs à venir arrowCW nous livre une nouvelle affiche pour la série Arrow, avec laquelle je les soupçonne (à tort, cela va sans dire) de vouloir attirer un peu de public féminin qui ne connaîtrait pas le personnage. Si vous voulez baver, c’est à gauche, donc ^^

À part ça, la chaîne annonce avoir trouvé l’interprète de la Chasseresse. Profitons-en donc pour faire un point sur le casting des personnages côté super héros et vilains.

Jessica De Gouw sera donc Helena Bartinelli, alias la Chasseresse. Deadshot apparaîtra sous les traits de Michael Rowe. Kelly Hu apparaîtra en tant que China White. Enfin, John Barrowman jouera un personnage encore gardé secret.

Voilà pour le casting. Concernant la Chasseresse, on notera qu’elle est une maîtresse du tir à l’arc, et qu’une liaison pourrait naître entre elle et l’Archer Vert.

La série Arrow sera à l’antenne de CW aux États-Unis dès le 10 octobre.
Ne reste qu’à savoir si elle connaîtra la même fortune que SmallVille.

22 août, 2012 à 17:20 | Commentaires (2) | Permalien


La Tour Sombre s’écroule encore

La Tour Sombre s'écroule encore dans Adaptations et projets avec auteurs à venir DarkTowerDécidément, ce projet devient plus un running gag qu’autre chose. Rappel.
Ron Howard veut absolument adapter le cycle western/fantasy/fantastique de Stephen King en sept volumes, La Tour Sombre. Universal s’intéresse alors au projet, qui prend une forme bâtarde étrange, à savoir une trilogie cinéma et une série télé qui seraient donc réunies pour adapter tout le cycle. Javier Bardem signe pour le rôle de Roland par la suite.

Quelques temps plus tard, le studio abandonne le projet. Il aurait coûté trop cher. Et on peut raisonnablement supposer que sa rentabilité était un pari risqué, tant le cycle de King est relativement méconnu.
Fin de l’histoire. Du moins chez Universal.

Ron Howard, têtu, garde l’idée et cherche un nouveau producteur. Après plusieurs mois, c’est au tour de la Warner Bros de reprendre le projet, avec option possible de la série sur HBO. L’adaptation semblait donc se relancer, avec cette fois Russell Crowe qui semblait prêt à reprendre le rôle de Roland, Javier Bardem n’étant plus libre.

Hé bien, finalement, la Warner lâche aussi le projet !

Un espoir subsiste cependant encore. Media Rights Capital, boosté par le succès de Ted et avec des accords de distribution avec Warner, serait en effet intéressé. Après tout, jamais deux sans trois…

Un troisième abandon à prévoir ?

Pour régler le problème, si on commençait par se décider formellement pour une forme précise ? Soit on fait sept films, soit on fait une série, mais on oublie le projet bâtard. Ensuite, on confie le tout à Frank Darabont, proche ami de King et qui a déjà adapté deux de ses livres avec La Ligne Verte et Les Évadés. On fait signer Hugh Jackman en Roland (oui, j’y tiens ^^) et on met King à la supervision du scénario et des visuels.

Voilà qui devrait attirer pas mal de monde en plus des fans de la saga, non ?

Ou alors, on va au plus simple, on annule tout.

21 août, 2012 à 12:20 | Commentaires (0) | Permalien


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